De l'ancien rempart médiéval, la ville
de Saint-Paul-Trois-Châteaux a conservé des pans
de murailles associés à
trois portes : la Porte Fanjoux, la Porte des Grandes Fontaines,
la Porte l'Esplan et la Porte
Notre-Dame.
La cité était déjà fortifiée à l'époque romaine, au début du 1er siècle après JC.
C'est au XIIe siècle, qu'un rempart médiéval fut élevé en reprenant, en partie, celui de l'Antiquité.
Évidement, il fut renforcé et remanié au cours des siècles suivants.
Évidement, il fut renforcé et remanié au cours des siècles suivants.
Portion du rempart médiéval avec la Porte Fanjoux
Le rempart enserre la totalité du bâti, incluant le château de l’évêque et le quartier funéraire mais laissant à l’extérieur le site de la première église Notre-Dame, ruinées depuis longtemps
au moment de l’édification des murs.
On remarquera l'emprise beaucoup plus modeste du rempart médiéval par rapport
à celui de l'époque gallo-romaine
Cadastre de 1810 montrant l'emprise des remparts avec ses portes.
Porte Fanjoux avec sa porte en plein cintre et les vestiges d'une bretèche
(seuls les corbeaux subsistent)
Porte Fanjoux : Vue de l'intérieur
Ruelles de la ville, depuis la Porte Fanjoux
Portions de remparts en partie conservés.
Porte des Grandes Fontaines avec sa porte en plein cintre, les restes de sa bretèche
(corbeaux) et au-dessus la loge du gardien
Cette porte est dénommée "Porta Aquaria" en 1248
Porte de l'Esplan : Vue de l'intérieur
Porte Notre-Dame avec sa niche moderne et sa statue de la Vierge
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