Appartenant à la liste des plus beaux villages de France, Ansouis possède notamment
une église romane fortifiée accolée au château seigneurial.
La paroisse d'Ansouis est mentionnée dès 1092 comme relevant du chapitre
cathédral d'Aix-en-Provence. Mais le sanctuaire actuel semble avoir
remplacé celui du XIe siècle, à la fin du XIIe ou au, début du XIIIe siècle.
Le mur sud de l'église a été fortifié par l'ajout d'un parapet crénelé et le percement
d'archères au XIIIe siècle.
Du XVIe au XVIIIe siècles, les procès verbaux des visites pastorales successives
notent que l'église a fait l'objet de réparations avec notamment une toiture en lauzes.et
L'accès l'intérieur de l'édifice se fait par un escalier semi-circulaire à dix gradins.
En haut des marches, un portail en plein cintre à colonnes soutenant trois
voussures accueille le visiteur ; aucun tympan roman ne fut prévu.
En plus des meurtrières se répartissant tout le long du mur sud, trois ouvertures
en plein cintre ébrasées romanes assurent l'éclairage intérieur de l'édifice.
une église romane fortifiée accolée au château seigneurial.
La paroisse d'Ansouis est mentionnée dès 1092 comme relevant du chapitre
cathédral d'Aix-en-Provence. Mais le sanctuaire actuel semble avoir
remplacé celui du XIe siècle, à la fin du XIIe ou au, début du XIIIe siècle.
Le mur sud de l'église a été fortifié par l'ajout d'un parapet crénelé et le percement
d'archères au XIIIe siècle.
Du XVIe au XVIIIe siècles, les procès verbaux des visites pastorales successives
notent que l'église a fait l'objet de réparations avec notamment une toiture en lauzes.et
L'accès l'intérieur de l'édifice se fait par un escalier semi-circulaire à dix gradins.
En haut des marches, un portail en plein cintre à colonnes soutenant trois
voussures accueille le visiteur ; aucun tympan roman ne fut prévu.
En plus des meurtrières se répartissant tout le long du mur sud, trois ouvertures
en plein cintre ébrasées romanes assurent l'éclairage intérieur de l'édifice.
A l'intérieur, l'église se compose d'une nef à trois travées séparées par des arcs doubleaux.
Le voûtement est en berceau semi-brisé.
Bien que l'édifice soit sombre lorsqu'on y pénètre, un œil avisé remarquera les
marques de tâcherons réparties sur les murs.
Les peintures murales partiellement conservées sont bien plus tardives, du XVIe siècle.
Au dessus des arcs formerets en arc semi-brisé, un cordon est orné de motifs
géométriques
et végétaux et les culots affichent des têtes humaines et animales.
Une très belle église. Merci pour ces photos.
RépondreSupprimerJe ne connaissais que le prieuré st-Etienne & N.D.de Beauvoir
RépondreSupprimer