La cathédrale Saint-Bénigne de Dijon est un monument majeur de la ville,
sous lequel figure une exceptionnelle crypte romane, vestige d'une
ancienne rotonde appartenant à l'ancienne abbaye bénédictine.
sous lequel figure une exceptionnelle crypte romane, vestige d'une
ancienne rotonde appartenant à l'ancienne abbaye bénédictine.
Façade occidentale avec ses deux tours octogonales encadrant
une partie centrale occupée par deux galeries à arcades trilobés,
une grande fenêtre à trois lancettes trilobées surmontées
d'une rosace à huit cercles et un quadrilobe
une partie centrale occupée par deux galeries à arcades trilobés,
une grande fenêtre à trois lancettes trilobées surmontées
d'une rosace à huit cercles et un quadrilobe
De style gothique du XIIIe siècle, l'édifice, dédiée à saint Bénigne de Dijon (martyr chrétien
du IIe siècle), cathédrale depuis 1792, était jadis une ancienne abbatiale
bénédictine rattachée à l'ordre de Cluny, qui réforma la règle.
Fondée en 870, sur la base d'un édifice des années 510-535, l'abbaye fut confiée
à Cluny en vue de sa réforme vers 989-990.
Le moine clunisien, Guillaume de Volpiano (962-1031) fut chargé de la reconstruction de
l'édifice en style roman au début du XIe siècle. On lui doit notamment
la fameuse rotonde partiellement conservée.
bénédictine rattachée à l'ordre de Cluny, qui réforma la règle.
Fondée en 870, sur la base d'un édifice des années 510-535, l'abbaye fut confiée
à Cluny en vue de sa réforme vers 989-990.
Le moine clunisien, Guillaume de Volpiano (962-1031) fut chargé de la reconstruction de
l'édifice en style roman au début du XIe siècle. On lui doit notamment
la fameuse rotonde partiellement conservée.
Vers 1100, un incendie détruisit le clocher central et une partie de l'église.
Après l'incendie de 1137 qui détruisit presque toute la cité médiévale, le nouvel abbé,
Pierre de Genève, fit rebâtir la partie de la basilique dans le second style roman.
Sa consécration intervint le 31 mars 1147.
En 1271, un nouvel incendie causa l'écroulement d'une tour.
Entre 1280 et 1287, le chœur fut reconstruit dans le style gothique et le reste du
sanctuaire achevé entre la fin du XIIIe et le milieu du XIVe siècle. Elle fut
consacrée le 27 avril 1287 et le 9 avril 1393.
Après l'incendie de 1137 qui détruisit presque toute la cité médiévale, le nouvel abbé,
Pierre de Genève, fit rebâtir la partie de la basilique dans le second style roman.
Sa consécration intervint le 31 mars 1147.
En 1271, un nouvel incendie causa l'écroulement d'une tour.
Entre 1280 et 1287, le chœur fut reconstruit dans le style gothique et le reste du
sanctuaire achevé entre la fin du XIIIe et le milieu du XIVe siècle. Elle fut
consacrée le 27 avril 1287 et le 9 avril 1393.
Façade occidentale - Tours octogonales accueillant les cloches
Façade occidentale - Chapiteaux et visage du XIVe siècle
Façade occidentale - Partie de la tribune à arcades composées de deux
lancettes trilobées et à oculus à trois lobes ; deux arcades sont murées.
Façade occidentale - Base de la tour sud : Frise avec des feuillages, têtes féminines guimpées, tête d'évêque, un chien mordant le dos d'un chevreuil, personnage crachant du feuillage par la bouche.
Mur sud avec ses arcs-boutants contrebutant la poussée de la voûte intérieure
et le transept avec sa grande baie à six lancettes trilobées surmontées
de trois oculus à cinq lobes placés 2 et 1
Tour sud de la façade occidentale. De base carrée, elle s'achève par un
octogone surmonté d'une toiture vernissée à six pans.
Mur sud avec le bras du transept et sa grande baie gothique
Mur sud - Grande baie gothique en arc brisé à remplage composé de trois paires
de deux lancettes trilobées à oculi à trois lobes, et de trois oculi à six lobes
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